Article de presse OUEST FRANCE du 11/09/2023 : Un partenariat entre l’Ehpad Rivabel’Age et le CCAS de Ouistreham vient d’être signé (ouest-france.fr)
Un partenariat entre l’Ehpad Rivabel’Age et le CCAS de Ouistreham vient d’être signé
Lors de l’anniversaire des 20 ans de l’Ehpad Rivabel’Age, le maire de Ouistreham (Calvados), Romain Bail, a signé un partenariat entre le CCAS (Centre communal d’action sociale) et l’Ehpad afin de promouvoir l’intégration des personnes âgées et de leur assurer un accompagnement de qualité.
Ce vendredi 8 septembre 2023 célébrait le 20e anniversaire de l’Ehpad (Établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) Rivabel’Age de Ouistreham. Cet établissement fait partie de la filière « personnes âgées » de la fondation Normandie Générations.
Lors de cette journée de fête pour les résidents et le personnel, le maire de Ouistreham, Romain Bail et Gaëlle Alorend, directrice filière personnes âgées de la fondation Normandie Générations, ont signé une convention entre le CCAS (Centre communal d’action sociale) et l’Ehpad. « Dans le cadre de notre pôle compétence, nous mettons à disposition nos moyens afin d’aider à la formation des aides à domicile. Notre deuxième axe est l’inclusion des personnes âgées. Nous souhaitons lutter contre l’image des maisons de retraite. La liste d’attente d’accueil de jour étant trop importante, il est nécessaire de venir en appui aux aides des personnes qui peuvent rester chez elles », explique Gaëlle Alorend.
Rompre avec l’isolement des personnes âgées
Les trois axes de cette convention sont : formation et sensibilisation, démarche inclusive et appui aux situations complexes, de crises ou d’urgence à domicile. C’est par l’intermédiaire du pôle compétence de la fondation, permettant de dispenser des formations, que Rivabel’Age peut dispenser des formations à tout professionnel y compris ceux du CCAS de Ouistreham.
Il est également question d’engager une réelle démarche inclusive de la personne âgée en luttant contre leur isolement et en favorisant leur intégration dans la ville malgré les difficultés rencontrées, en lien avec une baisse des facultés de mobilité, de motricité, cognitive, etc. Enfin, il est question d’expérimenter une forme d’appui sur les situations complexes et urgentes que les services du CCAS peuvent rencontrer.
« Nous souhaitons poursuivre cette réelle réciprocité entre le CCAS et les personnels de l’Ehpad. La Ville peut mettre à disposition tous les équipements logistiques nécessaires pour les formations. Le but est également d’échanger les compétences de chacun ainsi que son savoir-faire. Ces pratiques existaient déjà, mais cette convention pérennisera nos actions », ajoute la vice-présidente du CCAS, Isabelle Muller de Schongor.